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Selon la dernière estimation nationale de l'Assemblée des Premières Nations, le Canada doit investir 349,2 milliards de dollars pour "combler le déficit d'infrastructure" des Premières nations dans l'ensemble du pays.

L’Assemblée des Premières Nations (APN) a fait appel à BTY pour quantifier les coûts d’investissement et d’exploitation liés à l’amélioration des actifs afin d’aligner leurs performances et leurs exigences d’accès sur celles des infrastructures communautaires facilement accessibles aux Canadiens non autochtones.

Travaillant en étroite collaboration avec une équipe de leaders de l’industrie, dont Associated Engineering, First Nations Engineering Services Ltd. et Planetworks, le rapport de BTY est le premier rapport complet sur les coûts nécessaires pour remédier aux insuffisances actuelles et aux besoins futurs basés sur la croissance démographique prévue.

La population autochtone – qui compte aujourd’hui 1,8 million de personnes – a augmenté de 9,4 % entre 2016 et 2021, dépassant de loin la croissance de la population non autochtone sur la même période (+5,3 %).

L’écart entre les niveaux d’équipement en infrastructures – et l’accès à ces infrastructures – dont disposent les Premières nations et ceux dont disposent les personnes n’appartenant pas aux Premières nations est resté obstinément important.

L’ampleur et la variété des déficits d’infrastructure des Premières nations sont énormes et géographiquement diversifiées.

Ils couvrent un large éventail de catégories d’actifs pour plus de 600 Premières nations à travers le Canada, allant des services publics et du logement à l’éducation, au transport, aux soins de santé, à la connectivité à large bande et aux installations communautaires.

Le déficit des infrastructures est le résultat direct d’un manque de financement adéquat pendant des décennies et d’une détérioration des actifs due à un manque supplémentaire de financement fiable à long terme pour l’exploitation et l’entretien.

Le groupe de travail à l’origine du rapport a également analysé le caractère raisonnable de la répartition de l’investissement total par région, par zone, par catégorie d’actifs et par communauté.

Le rapport résume le besoin urgent de combler le déficit d’infrastructures dans les Premières nations, y compris la nécessité pour le Canada de respecter ses engagements fiduciaires, l’opportunité nationale de débloquer la croissance économique et d’avoir un impact positif sur les résultats socio-économiques, et le lien intégral entre l’investissement dans les infrastructures des Premières nations et l’engagement du Canada à atteindre les objectifs de réduction nette de la consommation d’énergie à zéro.

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