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Parlons

Les restrictions imposées par la pandémie de Covid-19 ont montré à quel point l'accès à des vitesses d'Internet à large bande est crucial pour la prospérité dans une économie de plus en plus numérique. Elles ont également mis en évidence les inégalités résultant de la fracture numérique entre les régions urbaines et rurales d'Amérique du Nord.

Les gouvernements canadien et américain ont pris des engagements importants en matière d’investissement dans les infrastructures afin de fournir une connectivité à haut débit dans les zones mal desservies et aux populations à faible revenu. BTY apporte une grande expertise en aidant à traduire ces objectifs d’investissement en solutions dans l’environnement bâti.

Au Canada, le gouvernement fédéral s’est engagé à investir 2 milliards de dollars pour connecter environ 750 000 foyers au haut débit dans les communautés mal desservies. Ce montant s’ajoute au Fonds universel pour le haut débit de 1,7 milliard de dollars.

Une enquête de Statistique Canada montre que 76 % des répondants vivant dans une région métropolitaine de recensement (RMR/AR) avaient une vitesse de téléchargement annoncée de 50 Mbps ou plus. Mais un peu moins de la moitié – 48 % – vivant en dehors de ces régions ont pu se connecter à des vitesses internet similaires[1].

Au Canada, le haut débit est de 10 Mbps en upload et de 50 Mbps en download.

L’objectif du Canada est de connecter 98 % des Canadiens d’ici 2026, et tous les Canadiens d’ici 2030, à l’internet à haut débit. Cela signifie que les foyers et les entreprises auront accès à des vitesses Internet à large bande d’au moins 50 Mbps pour les téléchargements et 10 Mbps pour les téléchargements vers l’amont[2].

Aux États-Unis, la loi sur l’infrastructure et l’emploi alloue 65 milliards de dollars pour connecter les Américains à la large bande. On estime que 42 milliards de dollars de ces fonds seront consacrés à la construction de nouvelles infrastructures dans des endroits actuellement non desservis ou mal desservis par la large bande. Un autre montant de 14,2 milliards de dollars est destiné à rendre le haut débit plus abordable en subventionnant son coût dans le cadre du programme « Affordable Connectivity Program »[3]. En 2015, la Commission fédérale des communications des États-Unis a défini le haut débit comme un débit de 25 Mbps en téléchargement et de 3 Mbps en téléversement[4].

Les professionnels de BTY ont fourni des services de gestion des coûts, de gestion de projet et de conseil en infrastructure pour des projets de télécommunications et de connectivité dans toute l’Amérique du Nord, y compris dans des communautés isolées. L’une des premières missions du cabinet dans ce secteur concernait la livraison de 1 100 kilomètres de nouvelles fibres optiques traversant la vallée du McKenzie, de Fort Simpson à Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada.

BTY fournit actuellement des services de conseil en infrastructure pour deux grands projets distincts de fibre optique à large bande en Ontario. Ces projets permettront aux abonnés des zones reculées de la province de bénéficier d’une vitesse d’accès à l’internet d’au moins 50/10 Mbps.

Outre l’infrastructure de fibre optique, l’entreprise a fourni des services de livraison de projets intégrés pour plusieurs centres de données de niveau 1 à 4 à travers le Canada.

 

[1] https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/210531/dq210531d-eng.htm
[2] https://hillnotes.ca/2020/05/13/the-state-of-broadband-internet-in-canada-2/
[3] https://www.msn.com/en-us/news/technology/white-house-says-10m-households-have-signed-up-for-broadband-subsidy/ar-AATQJD5
[4] https://broadbandnow.com/research/broadband-2020Skip to Content

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